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Date de création : 31.01.2008
Dernière mise à jour : 20.01.2015
4043 articles


Légendes : Lieux et Histoires étranges

les légendes

Publié le 08/09/2010 à 12:09 par legendiagoth
 les légendes
Une légende (de l'adjectif verbal latin legenda, « qui doit être lu ») est, à l’origine, un récit mis par écrit pour être lu publiquement : dans les monastères, pendant les repas ; dans les églises, pour l’édification des fidèles lors de la fête d’un saint. Dans ce genre de littérature, la précision historique passe au second plan par rapport à l’intention spirituelle (dans l'hagiographie) ou morale.

C'est un récit fictif le plus souvent d'origine orale faisant appel au merveilleux. Une légende, à la différence d'un conte, est fortement liée à un élément clé, ceci est précisé et se concentre sur un lieu, un objet, un personnage, une histoire, etc. Au fil du temps, la légende devient un mythe pour les sociétés futures, car elle perd en précision et gagne en fantaisie et en grandeur/amplification. Dans la langue courante, le mot légende est également devenu synonyme de mythe, et renvoie à quelque chose dont l'existence n'a jamais pu être prouvée.

Aéromancie

Publié le 08/03/2008 à 12:00 par legendiagoth
Aéromancie
Art prétendu de deviner l'avenir par le moyen de l'air et des phénomènes aériens.

L'Aéromancie , pratiquée par les prêtes de l'ancienne Babylone , fut l'un des tout premiers systèmes divinatoires. Autrefois, plutôt que de prédire le temps, on se servait du temps pour faire des prédictions. Les disciplines de cet art voyaient des augures dans les conditions atmosphériques telles que le tonnerre, la foudre, le sens et la force des vents ou la présence d'un halo autour du soleil ou de la lune.

Affaire des poisons

Publié le 12/08/2010 à 21:56 par legendiagoth
Affaire des poisons
Marie Madeleine Dreux d'Aubray, marquise de Brinvilliers, née le 2 juillet 1630, rendue célèbre par l'Affaire des poisons, fut jugée le 16 juillet 1676 et exécutée le lendemain pour empoisonnement.

Fille d'Antoine Dreux d'Aubray , lieutenant civil du Châtelet de Paris à l'époque de la Fronde (il apparaît à ce titre dans les Mémoires du cardinal de Retz), sa réputation sulfureuse lui prête des relations incestueuses avec ses frères dès l'âge de 7 ans.

Elle se marie en 1651 à Antoine Gobelin, marquis de Brinvilliers, mestre de camp, joueur ; des témoignages contemporains nous la présentent à l’époque comme un joli brin de femme avec un air d’innocence désarmant. Elle succombe aux charmes de Godin de Sainte-Croix, un officier de cavalerie passionné par l'alchimie, qui lui est présenté par son mari. Ce dernier n’a guère le temps de s’occuper de cet adultère car il doit fuir la France, poursuivi par ses créanciers ; mais Dreux d'Aubray, irrité de la conduite de sa fille, fait emprisonner en 1663 le séducteur à La Bastille ; c’est là que Sainte-Croix noue une relation avec un compagnon de cellule, l'empoisonneur italien Exili, qui faisait métier de composer des poisons, et avait déjà commis de nombreux empoisonnements. À sa sortie, il retrouve sa maîtresse et lui enseigne l'art qu’il vient d’apprendre, et dans lequel elle se perfectionne en empoisonnant des pauvres qui viennent lui demander la charité ou des malades qu’elle visite à l’hôpital. Devenue experte elle réussit à empoisonner successivement son père (en 1666), ses frères et sa sœur (en 1670) afin de faire disparaître les obstacles à sa liaison et de s'assurer l'héritage familial. L’autopsie suggère la cause de la mort mais les coupables ne sont pas inquiétés.

Après des tentatives présumées d'empoisonnement de son mari et de son amant Sainte-Croix, ce dernier prend peur et enferme des preuves de la culpabilité de sa maîtresse dans une cassette «à n'ouvrir qu'en cas de mort antérieure à celle de la Marquise». Et malheureusement pour elle, il meurt en 1672. L'imagerie populaire attribue sa mort aux suites d'une expérience d'alchimie au cours de laquelle il a respiré des gaz empoisonnés, mais il n'en est rien. La cassette trouvée et ouverte, la Marquise est recherchée et s'enfuit successivement à Londres, puis aux Pays-Bas et en Flandre. Son complice La Chaussée, au contraire, est arrêté et torturé ; il passe une confession complète et périt sur la roue. Elle-même n’est condamnée que par contumace en 1673, elle est retrouvée dans un couvent à Liège et ramenée en France en 1676 par la ruse d'un exempt de police déguisé en prêtre. Sa tentative de suicide échoue et, après un long procès (29 avril - 16 juillet 1676) au cours duquel elle se refuse à tout aveu malgré la question qu'elle subit et les preuves de ses crimes découvertes parmi ses papiers, elle est condamnée à la décapitation, son corps devant être brûlé et ses cendres dispersées.

Ce n'est qu'après son procès, dans l'attente de son exécution, qu'elle accepte enfin de se confier à son confesseur, l'abbé Pirot. Elle est exécutée le 17 juillet 1676, et montre à cette occasion une piété qui impressionne la foule après avoir confondu son confesseur.

Son procès, sa condamnation et son exécution sont rapportées dans la correspondance de Madame de Sévigné ainsi que dans le roman d'Alexandre Dumas dont elle est éponyme.

agaberte

Publié le 08/03/2008 à 12:00 par legendiagoth
agaberte
Fille d’un géant appelé Vagnoste vivant dans les pays du Nord, cette magicienne prenait les déguisements les plus divers, tantôt vieille & fort ridée, tantôt si haute qu’elle paraissait toucher le ciel avec sa tête. Avec les diables attachés à sa volonté, elle pouvait obscurcir le soleil, la lune et les étoiles, aplanir les montagnes ou les renverser, arracher les arbres, dessécher les rivières et autres cataclysmes (d’après Antoine de Torquemada, Examéron).

aggrippa

Publié le 31/01/2008 à 12:01 par legendiagoth
aggrippa
L'Agrippa est un livre énorme. Placé debout, il a la hauteur d'un homme. Les feuilles en sont rouges, les caractères en sont noirs. Pour qu'il ait son efficacité, il faut qu'il ait été signé par le diable.


Tant qu'on n'a pas à le consulter, on doit le maintenir fermé à l'aide d'un gros cadenas. C'est un livre dangereux. Aussi ne faut-il pas le laisser à portée de la main. On le suspend, au moyen d'une chaîne, à la plus forte poutre d'une pièce réservée. Il est nécessaire que cette poutre ne soit pas droite, mais tordue. Le nom de ce livre varie avec les pays.
En Tréguier, il s'appelle l'Agrippa; dans la région de Châteaulin, l'Egremont, dont il y a une variante Egromus ; aux alentours de Quimper, Ar Vif; dans les parages du haut Léon, An Negromans ; à Plouescat, le livre de l'igromancerie
L'homme qui possède un agrippa ne peut plus s'en défaire dans le secours du prêtre, et seulement à l'article de la mort.
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Agroglyphe les crops circles

Publié le 14/08/2010 à 12:18 par legendiagoth
Agroglyphe les crops circles
Le terme agroglyphe est un néologisme synonyme de crop circle parfois traduit de l'anglais par cercle de culture ou cercle de récolte. Un agroglyphe est une zone, dans un champ de blé ou d'autres céréales similaires, où certains épis ont été recourbés ou couchés pour former diverses formes géométriques, certaines en trois dimensions et d'autres en deux. Ces formes vont du simple cercle de quelques mètres de diamètre à la composition de plusieurs centaines de mètres impliquant de nombreuses sections.
L'explication de la formation de ces figures est très controversée. L'explication la plus simple, celle défendue par le scepticisme scientifique, est une action humaine délibérée : les agroglyphes sont une production artistique humaine, similaire du point de vue de la démarche aux graffitis que l'on trouve sur les murs de nos cités. Dans ce contexte, la méthode de réalisation utilise un ou des plans sur papier et des moyens de report sur le terrain comme des cordes, pieux, décamètres ainsi que des planches ou rouleaux pour abaisser les tiges. Un très grand nombre d'agroglyphes ont été produits selon ces procédés, prouvant leur faisabilité. D'autres explications persistent à être avancées. Par exemple l'origine serait due aux ovnis ou à des « manifestions d'énergie »

Air (élément)

Publié le 08/03/2008 à 12:00 par legendiagoth
Air (élément)
(Vient du latin aer, sens premier « fluide »). L’air est, avec la terre, le feu et l’eau, l’un des 4 éléments fondamentaux. Il constitue un couple avec le feu en partageant ses polarités active et masculine, tandis que l’autre couple –terre, eau- partage les polarités passive et féminine.
Élastique, extensible, comprimable, sans poids évident, impalpable, invisible et transparent, l’air est indissociable de la vie sur terre et est naturellement associé au souffle et à l’âme qu’il contient.
De tous les éléments, l’air est le plus subtil. Il ne peut être saisi, contenu, vu ou encore tenu. Cette spécificité le rattache bien évidemment au principe cosmique et spirituel

alchimie

Publié le 31/01/2008 à 12:01 par legendiagoth
alchimie
L'alchimie est une science ésotérique dont l'objet est l'étude de la matière et de ses transformations.
L’alchimie est construite sur un hermétisme et cherchant d’une part l’immortalité par des élixirs, la Pierre philosophale, et d’autre part la transmutation de métaux en or.
Mais l'Alchimie va au-delà de cette recherche de la transmutation de la matière, l’Alchimiste comprend rapidement que la réelle transmutation est celle de son esprit, de son âme.

Dans l'imaginaire collectif, alchimie rime avec vie éternelle et richesse infinie

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Androgyne.

Publié le 15/02/2008 à 12:00 par legendiagoth
Androgyne.
c'est un être humain dont l'apparence ne permet pas de savoir à quel sexe il appartient. Quand une personne est physiquement porteuse des deux sexes on parle plutôt d'hermaphrodisme. Le terme est aussi revendiqué par certains personnes qui ont une identité de genre ni tout à faut masculine ni tout à fait feminine, quelque soit leur apparence physique. Androgyne désigne aussi un style vestimentaire dans les mouvements Gothique, Visual kei, Cosplay, et Glam Rock, où homme et femme s'habillent sans tenir compte des codes vestimentaires habituels, piochant allègrement dans les registres censés appartenir au genre opposé; au sens large on parlera de « cross-dressing »

ankou

Publié le 31/01/2008 à 12:01 par legendiagoth
ankou
Personnage revenant souvent dans la tradition orale et les contes bretons, l'Ankou (an Ankoù) est la personnification de la Mort en Basse-Bretagne

Il ne représente pas la Mort en elle-même, mais son serviteur : son rôle est de collecter dans sa charrette grinçante les âmes des défunts récents. Lorsqu'un vivant entend le bruit de la charrette (wig ha wag !), c'est qu'il (ou selon une autre version, quelqu'un de son entourage) ne va pas tarder à passer de vie à trépas. On dit aussi que celui qui aperçoit l'Ankou meurt dans l'année.